Virée nocturne dans Tana pour cette nouvelle, où l'on apprend que " De l’eau, jusqu’au genou dans les rizières, asphyxie les jeunes plants et anéantit toute idée de récolte" . Alors arrête la camomille et fonce !
"C’était en novembre. Une nuit moite puis la brusque fraîcheur d’après l’orage. J’attendais la clientèle sous un lampadaire d’Ampasampito quand je perçus des floc-flocs sur le bitume.Je levai la tête de mon calepin et vis une silhouette chancelante pénétrer dans le halo de lumière."
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